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Air Intérieur

Valeurs Guides de qualité d’Air Intérieur (VGAI)

Publié le 26/12/2024

Présentation et travaux de l’Agence Pour faire face à l’enjeu sanitaire que représente la qualité de l’air intérieur et apporter aux pouvoirs publics des éléments utiles à la gestion de ce risque, l’Anses travaille depuis 2004 à l’élaboration de valeurs guides de qualité d’air intérieur (VGAI), fondées exclusivement sur des critères sanitaires. Depuis le début de ce travail, une dizaine de polluants d’intérêt de l’air intérieur ont été étudiés. Présentation des travaux de l’Anses en la matière.

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Eoliennes Impacts sanitaires du bruit généré par les éoliennes

Mis à jour le 11/09/2024

L’Anses a réalisé plusieurs travaux d’expertise scientifique sur la thématique des impacts sanitaires potentiels du bruit éolien. L’Agence avait été saisie une première fois en 2006 par les Ministères en charge de la santé et de l’environnement afin de réaliser une analyse critique du rapport publié par l’Académie nationale de médecine recommandant l’implantation des éoliennes à une distance minimale de 1 500 mètres des habitations, pour les machines les plus puissantes (supérieures à 2,5 Mégawatts) en raison des nuisances sonores liées à ces infrastructures. Au terme de cette première expertise publiée en 2008, l’Anses rappelait dans ses conclusions la nécessité d’étudier au cas par cas les distances d’implantation des éoliennes, par le biais notamment de modélisations acoustiques considérant les spécificités des configurations locales.À la suite notamment de différentes plaintes de riverains de parcs éoliens, les Ministères de la santé et de l’environnement ont à nouveau saisi l’Agence en 2013, afin d’évaluer les effets sanitaires potentiels des infrasons et bruits basses fréquences émis par les parcs éoliens. À ce jour, si des hypothèses de mécanismes d’effets sanitaires demeurent à explorer, l’examen des données expérimentales et épidémiologiques disponibles ne met pas en évidence d’arguments scientifiques suffisants en faveur de l’existence d’effets sanitaires pour les riverains spécifiquement liés à leur exposition à la part non audible des émissions sonores des éoliennes (infrasons notamment). L’état des connaissances disponibles ne justifie donc pas d’étendre le périmètre des études d’impact sanitaire du bruit éolien à d’autres problématiques que celles liées à l’audibilité du bruit, pour lesquelles les effets sont avérés, complexes et documentés par ailleurs.

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